Soigner les crayons

Plutôt que de lutter contre l’insomnie, j’ai pris soin de ma collection de crayons de couleur Caran d’Ache. Un rituel simple : tailler, nettoyer, ordonner.

Ces crayons m’accompagnent depuis que je suis enfant. Ils me servent à colorier, dessiner, entretenir la dextérité de mes mains et de mon esprit, développer ma patience et faire du brainstorming. Ils ont permis et vu passer des idées, des projets, des moments de maîtrise et des moments de frustration. Ils sont à la fois outils et témoins.

Prendre soin de ses outils, c’est prendre soin de soi. C’est une forme de respect: envers le travail, envers la créativité, envers ce qui nous construit.

Dans un monde trépidant et difficile à comprendre, ces petits gestes lents me rappellent l’importance de l’entretien – de nos compétences, de notre environnement, de notre énergie.

Tout cela demande une attention régulière, patiente, presque méditative.

Et vous, quels sont vos rituels de soin, même à 4h du matin ?

Le HTML est un langage de programmation et un trésor

Dans cette courte colonne d’opinion publiée dans Wired, Tim Carmody défend le point de vue que le HTML est un langage de programmation. Et qu’il est le plus courant et le plus démocratique.

L’auteur nous décrit son habitude d’éditer son code HTML à la main et nous encourage à refaire de même.

Il souligne aussi la beauté des accidents qui peuvent se produire quand le code est non-conforme. Dans le cas de ce guide de dépannage de machine à broder, le texte grandit de façon exponentielle, rendant le tout inutilisable parce que les balises <h2> et <h3> utilisée par l’auteur ne sont jamais fermée.

👉 https://www.wired.com/story/html-is-actually-a-programming-language-fight-me

L’archive 88×31

L’archive 88×31 constitue une forme d’archéologie numérique salutaire. Mis à jour le 24 juillet 2024, le site contient 31’119 boutons de 88×31 pixels uniques que booters a récupérés dans les archives de GeoCities compilées par l’incroyable Archive Team avant la disparition de l’hébergeur fin 2009.

Ce format réduit permettait de faire des boutons très légers. L’espace de stockage fourni gratuitement par Geocities était de 2 méga-octets et les vitesses de connexion des internautes étaient très faibles. Le plus léger présent dans l’archive pèse 87 octets et le plus lourd 392,9 kilo-octets.

Certains nostalgiques continuent de créer des boutons dans ces dimensions pour que leurs sites se démarquent du web commercial actuel. De toutes les façons, optimiser le code et les images des sites web reste très important. Les sites légers coûtent moins chers. Comme ils utilisent moins d’énergie, ils émettent moins de CO₂. De plus, ils fonctionnent mieux. Les performances comptent dans leur référencement sur les moteurs de recherche. Et un chargement très rapide des pages aide à capter l’attention des gens.

Un mystère continue pourtant de planer… Pourquoi 88 par 31 pixels ? Aucune raison évidente ne se fait jour. Il est difficile de répondre à cette question avec certitude. Le plus vieux bouton se trouvant dans l’archive indique «Netscape NOW!» et faisait partie d’une campagne de publicité. L’hypothèse de booters est donc que ce format a été décidé pour cette campagne pour Netscape.

Blackwell de NVIDIA, deux pas en arrière pour la transition énergétique

NVIDIA a présenté sa nouvelle plateforme d’entraînement de modèle pour l’apprentissage machine. Cette nouvelle plateforme appelée Blackwell consomme deux fois plus d’électricité que les précédentes. Cela va augmenter la consommation électrique des centres de calcul. Cette augmentation fulgurante empêche la transition énergétique. Les sources d’énergie décarbonées vont simplement venir s’ajouter aux sources émettrices de gaz à effet de serre qui resteront en service pour satisfaire la demande croissante.

John Loeffler, l’auteur de l’article, écrit: «Pour tous les autres, cependant, tout ce que j’ai vu, c’est la fin des derniers glaciers de la planète et les déplacements massifs de population qui résulteront du manque d’eau potable».

Ré-ensauvager Internet

Maria Farrell et Robin Berjon ont publié un essai (en anglais) dans NOEMA pour alerter sur le fait que la concentration du pouvoir dans les mains de quelques entreprises fragilise Internet d’un point de vue culturel mais aussi structurel et technologique. La sur-optimisation rend le système moins résilient face aux pannes et aux crises. Ils nous enjoignent à voir Internet comme un écosystème. D’après leur texte, nous devons utiliser les leçons apprises par les biologistes engagés dans la réparation d’écosystèmes pour mettre en place des lois et des règles.

Bullet Journal: utiliser un carnet de notes pour organiser son travail

Dans les bureaux «sans papier» où j’évolue, mon carnet de note et la manière dont je l’utilise étonne parfois. Le système Bullet Journal dont je parle plus bas est, semble-t-il, moins répandu que je le pensais. C’est une méthode d’organisation qui m’aide beaucoup au quotidien, au bureau comme à la maison. Peut-être pourra-t-elle vous servir aussi…

Pourquoi prendre un carnet?

J’essaie régulièrement de m’adapter au bureau «sans papier». On me prête un Mac, en ce moment, alors j’ai encore récemment tenté de tout faire dans «Notes» en dactylographiant avec la police Menlo. Oh-oh. Mais quelle que soit la police ou les outils numériques mis à ma disposition, je ne parviens jamais à proscrire totalement les notes manuscrites.

Dès que les projets et les tâches commencent à s’accumuler, l’expérience m’a appris à revenir aux outils et aux méthodes ayant fait leurs preuves. Papier et stylo.

Les feuilles volantes ont tendances à se multiplier sans cesse, se couvrir de gribouillages, se perdre, etc. Les classeurs permettent de mettre les feuilles ensembles et d’en changer l’ordre mais ils sont volumineux et lourds. Ce n’est pas très adapté aux modalités hybrides du travail contemporaines où l’essentiel de notre matériel doit tenir dans un sac à dos.

Je me souviens qu’à une époque, j’utilisais un Hipster PDA soit un ensemble de bristols A6 et de séparateurs en carton maintenu ensemble par une broche en métal. Cette méthode inventée ou popularisée par Merlin Mann est très efficace lorsque le fait de ne pas pouvoir réordonner les pages de vos carnets vous cause des soucis.

Le carnet A5, lui, offre plus de place. Il peut être acheté prêt à l’emploi. De plus, il est relativement compact et ne devient pas plus encombrant avec le temps. D’une part, mes notes y sont (généralement) propres et soignées. Elles restent ensembles. Et, d’autre part, les pages d’un carnet A5 sont un canevas idéal pour réfléchir et planifier sans contrainte.

Capturer toutes les tâches

Les tâches naissent de multiples façons. Certaines tâches découlent d’emails, d’autres encore émergent en réunion et se retrouvent dans mes notes. Chacun de ces endroits sont ce que David Allen, inventeur de la méthode «Getting Things Done», appelle des in-baskets. Il s’agit de traiter les informations qui entrent par ces canaux, de décider quelles actions entreprendre et dans quel ordre. Ensuite, certaines tâches peuvent entrer dans le logiciel de gestion de projet partagé. D’autres ont une granularité trop fine pour y être ajoutées. Mon carnet me permet de capturer toutes les tâches, au niveau de granularité qui me convient. Sans en laisser échapper une seule.

Évidemment, un carnet seul ne permet pas d’arriver à un tel résultat. Je me sers de la méthode appelée Bullet Journal ou BuJo pour tirer le meilleur parti de mes carnets. Cette méthode d’organisation mise au point par Ryder Carroll, un designer de produits numériques vivant à Brooklyn, New York est souple et adaptable à toutes les situations.

Les éléments de mon Bullet Journal

Je vous conseille de prendre un carnet A5 aux pages numérotées. Si vous souhaitez vous lancer, procurez-vous un Leuchtturm1917. Personnellement, je préfère la version pointillée qui offre un bon compromis entre les petits carreaux et les pages entièrement blanches. Le Leuchtturm1917 est moins cher qu’un Moleskine et reste de très bonne facture.

L’index

Je réserve un certain nombre de pages au début ou à la fin pour la constitution d’un index. Cela permet de retrouver vos notes plus simplement. Les carnets Leuchtturm1917 ont des pages déjà réservées à cet effet.

De plus, pour ne pas se perdre dans le carnet, je fais fréquemment des renvois entre les pages traitant du même sujet. Cela permet de contourner toutes les difficultés créées par le fait qu’on ne puisse pas changer l’ordre des pages.

La liste des projets

La liste maîtresse est la liste de tous les projets dans lesquels j’interviens. J’utilise une définition très large du mot «projet» proposée par David Allen: toute tâche qui nécessite plus d’une seule action est déjà un projet.

Les listes de tâches

Comme leur nom l’indique, il s’agit de listes des tâches à accomplir. Il peut en exister des mensuelles, hebdomadaires ou journalières.

Le future log

Au début de l’année, où au commencement d’un nouveau carnet, je réserve quatre pages pour faire un calendrier. Chaque page est coupée en 3 sections égales. Chaque section représente un mois. J’y mets les échéances importantes et les tâches que j’aurai à accomplir durant un mois spécifique.

Photo de future log dans mon Bullet Journal personnel

Le même format de calendrier peut d’ailleurs aussi servir pour planifier un calendrier éditorial pour un site web ou des comptes de réseaux sociaux.

Les puces (ou bullets)

Il existe aussi tout un système de symboles utilisés pour différencier les éléments de listes (tâches, événements, rendez-vous, pensées). Vous pourrez trouver l’explication complète de ces puces en français dans le guide Bullet Journal de Everlaab. Même si elles donnent leur nom à tout le système, personnellement, je les utilise très peu.

Les actions récurrentes pour garder son Bullet Journal au top

Après chaque réunion, je revois mes notes pour y dénicher toutes les actions à entreprendre et les recopier dans ma liste de tâches.

Chaque fin de semaine, je revoie la liste des projets. Pour chaque projet, je m’assure que je suis au clair sur la manière de le faire avancer et j’inscris la prochaine action à entreprendre dans la liste des tâches pour la semaine suivante.

Chaque début de mois, je transfère les tâches encore ouvertes et celles du calendrier future log sur la liste des tâches de ce mois.

Le Bullet Journal comme manifestation physique de l’organisation

Un Bullet Journal bien tenu a aussi comme avantage d’être un signe extérieur d’organisation et de rigueur intellectuelle. Des notes écrites avec soin et structure, des passages soulignés à la règle… tout cela donne une impression de sérieux et inspire confiance. Bien sûr, cette impression n’est utile que lorsque des résultats concrets sont visibles en dehors du carnet.

Pour nous, travaill∙eur∙euse∙s du monde du numérique, dont la productivité reste souvent confinée dans des systèmes de symboles et dans le royaume des abstractions, mettre une coche ✔ à côté d’une tâche accomplie est toujours très agréable. Le faire dans un carnet permet de détourner les yeux de son écran quelques instants entre les tâches. C’est appréciable.

A la fin de la journée, de la semaine ou du mois, on peut voir et toucher les progrès accomplis. En passant le bout des doigts sur une page bien travaillée, on sent les bosses et les creux fait par la pointe du stylo-bille. A mesure que l’encre sèche et que les fibres du papier reprennent leur place, la sensation offerte en caressant la page change.

Joyeux Anniversaire, Creative Mornings Geneva!

Le chapitre genevois de Creative Mornings fête son quatrième anniversaire ce mois-ci. Quatre ans déjà que cette équipe de personnes adorables propose des petits-déjeuners, présentations et rencontres mensuelles à Genève. Tout ceci a commencé dans la ville de New-York en 2008 à l’initiative de Tina Roth Eisenberg (aussi connue sous le nom de Swissmiss). Elle a décidé d’organiser des conférences matinales accessibles et gratuites dans son quartier. Son idée a rapidement essaimé. Aujourd’hui, 144 villes à travers le monde ont des chapitres locaux organisés par des bénévoles. Genève a la chance d’en faire partie.

J’ai été un lecteur de Swissmiss et un spectateur des vidéos de ses conférences avant le début du chapitre genevois. Naturellement, lorsque le chapitre genevois a commencé, j’étais très heureux. Cela coïncidait avec ma sortie de l’Université. J’avais bien besoin de rencontrer des jeunes professionnels de différents horizons et cette communauté m’a accueilli à bras grands ouverts. J’ai eu la chance de pouvoir participer à presque tous les petits déjeuners et rester fidèle à ces événements même après avoir trouvé mon emploi actuel. Les organisateurs sont vraiment supers. Toutes ces opportunités d’apprendre et de rencontrer des gens m’emplissent d’une immense gratitude.

Cet anniversaire est l’occasion idéale pour moi de proposer une courte sélection de quatre conférences qui m’ont marquées:

Je me réjouis beaucoup de continuer à aller tous les mois au Creative Mornings Geneva. Si vous n’êtes pas encore venus, j’espère que vous pourrez vous libérer pour venir la prochaine fois…

Merci encore aux organisateurs. Vous êtes géniaux!

Get Started With Web Analytics Without Throwing Your Arms Up

The web is a place for connection and wonder. But it is also a place for measurements, lots of measurements. With all the numbers flying around our heads, web and social analytics tools used to make me throw my arms up in the air. They can tally:

  • how many followers, favourites and RTs you get on Twitter
  • how many unique visitors find your blogs and the conversion rates of your business sites
  • how many Facebook likes, comments and friends you have
  • how many Facebook page fans you gathered
  • how many likes and reblogs you earned on Tumblr
  • and on and on. You get the idea.

From our deep need to be liked springs the desire to make these numbers go up, up and up. Always. Even though it shouldn’t, my heart sinks a little when my Klout score goes down. And I feel better when I get new followers on Twitter or Google Plus.

We tie our worth to these numbers. We know it’s reductive and inaccurate but we do it anyway. It’s complicated because we can’t dismiss these metrics in bulk.

Choose the right metrics or do not watch them at all

As we mindlessly obsess about them, we find ourselves trying to please everybody. Broadening and broadening our scope until it doesn’t make sense any more. Of course, we need some of these numbers. They can tell us where to direct our efforts better. However, we need to direct our attention to the right ones.

Standard reports from tools such as Google Analytics give us every number imaginable. It’s so confusing. We focus on the numbers that are easy to understand like monthly unique visitors and conversion rates.

Paying attention to the wrong metric is worse than not following any. If you track the wrong number, you’ll take all the wrong actions. Gerry McGovern explains it best in this article about an e-commerce site that connects sellers to customers. They focused on attracting more sellers and failed to focus on their customers. Of course, it didn’t increase sales or leads. Lead generation and consumer satisfaction aren’t easy to measure but, according to Gerry McGovern, trying harder to measure what matters makes a world of difference.

Hence, if you’re not going to take the time to learn how to pay attention to the right metrics, you might as well leave your analytics tool behind. People starting out on Twitter and on blogs out of personal interest need not worry about them. If you want to embark on a journey of learning, there are a few actions to take.

Measure basic website health

There are basic steps you can take to gauge the health of your website. Avinash Kaushik, who is the world’s most respected authority on web analytics, distills his wisdom and experience on his blog. Unmissable articles are clearly labelled as such and linked from the footer.

In the first unmissable he details the 10 steps he advocates you apply to any website. I would suggest you read his long post and take all the steps one by one. However, here are the gems that most probably apply to bloggers and social media enthusiasts like us.

  1. Traffic sources show you where your visitors come from. According to him, you should have diverse sources: search engines, other sites linking to you, and direct visits should all be well represented. Social media sites are big drivers of traffic as well. Pay attention at how much traffic comes from Facebook, Google Plus, Twitter, Pinterest, and Paper.li to see which of the services brings you more value.
  2. Visitor loyalty is important for many bloggers. Our audiences may be small but we pride ourselves on keeping them engaged. The percentage of returning visitors is where most people look for information about engagement. Unfortunately, ratios are bad because they’re volatile and, hence, unreliable. Instead, look at visit frequency and recency which measure how many times visitors returned and how many days have elapsed between their two last visits. You should also take a look at the visit’s length. Again, avoid the average and watch the detailed report.
  3. Ever wonder which of your topics resonate with your audience the most? Keyword clouds will give you hints. Lists of the 10 most-used keywords to find your site are dull and looking at them too much may make you shoot for the common denominator in your audience instead of breaking it down to serve it better. Instead, go the keywords page of your analytics tool, export the raw data and paste it into Wordle. It will give you a great visualization of what your audience is looking for and found on your site.

These pieces of information constitute a great stepping stone to make you enter the exciting world of analytics. They may prompt you to take actions or, at least, ask yourself relevant questions and investigate further. Happy analysis!

Image credits: Detail from The proportions of men and their secret numbers, 1533 woodcut.

I wrote « Get Started With Web Analytics Without Throwing Your Arms Up » on Paper.li’s blog, it was originally published on July 26, 2012. Reproduced here with permission.

Puis-je inscrire tous mes contacts à ma newslettre?

Quoi que l’on fasse, il faut résister à la tentation d’ajouter soi-même des noms et des adresses mail à une newslettre. Ces personnes qui n’ont pas donné leur consentement se désinscriront ou pire considéreront vos envois comme du spam et le feront savoir à vos fournisseurs de solution e-mail.

C’est sans doute la pire chose qui puisse arriver. Les fournisseurs de solution e-mail comme MailChimp, par exemple, appliquent une tolérance proche de zéro pour le courrier non-sollicité. Ils doivent se différencier très clairement des organisations qui envoient du spam.

Les filtres anti-spam réagissent à la provenance des mails. Si plusieurs mails frauduleux ou non-sollicité proviennent d’un même serveur, les filtres vont simplement bloquer ce serveur. Comme les fournisseurs de solution e-mail utilisent des serveurs communs à tous leurs clients, ils ne peuvent pas se permettre de voir les e-mails  envoyés par ces serveurs être considérés comme du spam et ne plus arriver à leur destination.

Les dénonciations pour spam sont comptées pour chaque envoi et pourraient vous valoir un blâme — chez MailChimp, si le pourcentage de plaintes dépasse les 5% des mails envoyés. En cas de récidive, votre compte est fermé et votre liste perdue.
En marketing email, le consentement est une notion centrale. On appelle cela le « permission marketing« . Lorsque des visiteurs vous donnent leur adresse mail pour votre newslettre, ils vous donnent explicitement la permission de les contacter. Le contrôle de consentement double ou double opt-in en anglais permet de s’en assurer. Il vaut mieux activer cette option pour éviter que des tiers puissent inscrire des personnes sans leur demander la permission.

L’autorisation de contacter une personne pour des mails promotionnels a une très grande valeur. Si vous n’abusez jamais de cette autorisation, il y a toutes les chances que vous puissiez la conserver et même approfondir votre relation avec cette personne.

La bonne conduite est donc très très rentable sur le long terme.
La pertinence des messages doit toujours être la plus élevée possible et concerner toute la liste pour ne pas entamer ce capital de confiance. Si vous faites preuve de parcimonie, de respect envers les personnes qui vous ont donné leur adresse mail, et que vos messages sont intéressants, cette confiance se développera et votre liste s’allongera. Dans le cas contraire, vous risquez de recevoir des blâmes et de perdre votre liste.

Si vous souhaitez vraiment allonger votre liste, attirez des personnes réellement intéressées. Vous pouvez les inciter à vous donner votre adresse en leur promettant un cadeau de bienvenue comme un e-book exclusif.