Maria Farrell et Robin Berjon ont publié un essai (en anglais) dans NOEMA pour alerter sur le fait que la concentration du pouvoir dans les mains de quelques entreprises fragilise Internet d’un point de vue culturel mais aussi structurel et technologique. La sur-optimisation rend le système moins résilient face aux pannes et aux crises. Ils nous enjoignent à voir Internet comme un écosystème. D’après leur texte, nous devons utiliser les leçons apprises par les biologistes engagés dans la réparation d’écosystèmes pour mettre en place des lois et des règles.